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Section maternelle :
- 1 classe d'accueil et 1e maternelle
- 2 classes de 2e et 3e maternelle

Section primaire :
- 1 classe de 1e primaire
- 1 classe de 2e primaire
- 1 classe de 3e primaire
- 1 classe de 4e primaire
- 1 classe de 5e primaire
- 1 classe de 6e primaire

Les priorités de l’équipe éducative sont de permettre à chaque enfant de développer au mieux son potentiel :
- garder sa curiosité en éveil et nourrir son désir d’apprendre ;
-   apprendre en tâtonnant, en acceptant l’erreur, en partageant ses savoirs dans un climat de confiance ;
-   travailler dans la sérénité, la rigueur et la coopération ;
-   s’éduquer à la vie en société en prenant des responsabilités et en développant des projets au sein de l’école.

La pédagogie mise en œuvre vise à rendre chaque enfant acteur dans ses apprentissages. Les activités d’éveil artistique, au travers de l’expression et de la créativité qu’elles favorisent, viennent soutenir la démarche de manière originale et adaptée. Chaque année, des projets mobilisent toutes les classes de l’école, matérialisant ainsi la continuité des apprentissages.



Un reportage de Mouna, Nelson et Charles

Pendant la Deuxième Guerre mondiale, quand un Juif ou un membre de la résistance était arrêté, il était enfermé dans le fort de Breendonk qui était transformé en prison. C’était un “camp de transit”. Les prisonniers y séjournaient en attendant leur transfert vers les camps de concentration allemands. Roger De Coster n’avait pas seize ans quand il est arrivé dans le camp. Roger a été le plus jeune détenu de Breedonk.

breendonk
Le fort vu du ciel

La ration quotidienne d’un prisonnier

Voici la ration quotidienne d’un prisonnier de Breendonk :
- Le matin : une petite tasse de café fait à base de glands ;
- Le midi : une seule louche de soupe aux légumes (beaucoup d’eau, des légumes et quelques pommes de terre) ;
- Le soir : 400 grammes de pain.

La torture ou la douceur ?

gardiensÀ l’interrogatoire, le prisonnier arrivait avec un sac sur la tête. On commençait par créer un climat amical pour qu’il parle. Mais s’il ne parlait pas, il était torturé.

Leurs instruments de torture étaient horribles ! Par exemple, des barres de fer chauffées qui étaient tapées sur leur dos. Ou alors, les bourreaux pendaient les prisonniers ; quelquefois ils tombaient dans les pommes...

 

 


Les gardiens allemands de la prison